Stigma Diaboli
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Raedan
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MessageSujet: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMar 17 Mai - 10:29

Sur Usenet, IRC ou des chats, le flood consiste à envoyer de nombreux messages avec le même mot sur un groupe ou un canal de discussion sur une courte période de temps, ce qui rend la lecture très difficile, voire impossible, pour les autres participants.

Cette technique peut aussi être utilisée contre un serveur Internet, en envoyant un grand nombre de requêtes pour provoquer un trafic important. Le service est alors dégradé pour les autres utilisateurs, dans les cas extrêmes le serveur peut aussi interrompre totalement le service sous l'effet de la charge du flood.

Par extension, on utilise aussi le terme flood pour désigner une quantité importante de messages inutiles envoyés par une même personne (ou répétés par d'autres par la suite) sur une liste de diffusion ou un forum sur Internet. On parle plutôt de troll quand ces messages sont délibérément polémiques, et de flood quand les messages sont répétitifs, dépourvus de sens, n'ayant aucun rapport avec le sujet initial ou ne revêtant aucune utilité particulière.

Sur les forums, le flood nuit à la lisibilité de l'espace virtuel où l'internaute vient généralement chercher une information en particulier et est alors confronté à une multitude de messages ne lui apportant aucun renseignement et l'obligeant donc soit à faire une recherche en se servant de l'outil mis à disposition par le forum, soit à parcourir les pages de messages en quête de l'élément recherché.

Certaines actions malveillantes consistent à automatiser et distribuer le flood de façon à en accentuer et en prolonger l'effet nuisible sur une cible particulière.

... désolé j'avais envie de flood alors pourquoi ne pas parler du flood? Laughing Laughing
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Clemslo
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMar 17 Mai - 12:13

Si elle est verte, c'est parce que cette limace de mer contient de la chlorophylle... Grâce à elle, le mollusque tire de l'énergie du soleil et peut ne manger qu'une seule fois dans sa vie ! La limace a volé aux algues ce pigment de la photosynthèse mais on vient découvrir qu'elle sait aussi la fabriquer. De quoi brouiller la frontière entre animal et végétal.
La limace de mer Elysia chlorotica, qui vit dans les eaux de la côte est des Etats-Unis, est connue pour voler les gènes et les organites photosynthétiques de sa proie, l’algue Vaucheria litorea. On parle de kleptoplastie, c'est-à-dire littéralement de vol de plastes (organites comme les chloroplastes). Ce gastéropodecoquille, stocke ensuite ces chloroplastes par endosymbiose dans les cellules de son tube digestif ramifié à la manière des nervures d’une feuille. opisthobranche de l’ordre des sacoglosses, qui a perdu sa
De nombreux animaux sont connus pour utiliser des micro-organismes photosynthétiques pour leur propre bénéfice, comme les coraux ou encore, chez les mollusques, les fameux bénitiers (tridacnes).
Plante ou animal ? Une voleuse, en tout cas !
Cependant, chez ces organismes hôtes, les cellules de leurs symbiontes restent entières. Chez Elysia chlorotica, en revanche, ces cellules sont détruites et les chloroplastes sont intégrés dans les propres cellules de la limace de mer. Ces kleptoplastes peuvent alors rester actifs pendant presque un an, soit à peu près la durée de vie de cet organisme.
Ces chloroplastes, grâce à la photosynthèse, apportent une quantité importante de nutriments. Les chercheurs ont en effet démontré qu’une jeune limace de mer n’avait besoin de manger qu’une seule fois dans sa vie après avoir dévoré des Vaucheria litorea. Il faut pour cela qu'elle dispose de sources de chlorophylle, de lumière et des éléments chimiques nécessaires à la photosynthèse.
Pourtant, si les chloroplastes ont leur propre génome, celui-ci n’est pas suffisant pour les maintenir ad vitam aeternam. Leur co-évolution au sein des végétaux s’est en effet accompagnée du transfert de certains gènes vers le noyau des cellules végétales.
En 2007, Sidney Pierce avait déjà découvert des gènes liés à la photosynthèse, y compris dans des œufs de limace de mer, donc avant toute consommation d’algues. Ses dernières recherches ont mis en évidence un plus grand nombre de gènes d’origine algale, dont certains codent pour des enzymes impliquées dans la synthèse de la chlorophylle. Il y a donc eu aussi transfert de gènes des kleptoplastes vers le noyau des cellules de cet animal.
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Raedan
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMar 17 Mai - 12:15

On pêche les moules sur de nombreux sites de la Côte d’Opale.
« Les plus belles sont sous les rochers, il ne faut pas avoir peur de se baisser ».
En quiche, au pastis, etc. : les recettes de moules foisonnent.

La moule filtre l’eau et se nourrit d’algues planctoniques qu’elle capte dans ses branchies. Elle filtre entre 0,5 et 5l d’eau de mer par heure. Avant d’être découverte lors de la basse marée, elle emplit sa coquille d’eau et se referme. Elle reprend son activité de filtre qu’une fois la mer remontée.

Il est fortement déconseillé de les consommer crues, si on veut éviter les ennuis gastriques. Les bactéries, vers mytilicoles ou petits crabes s’y installent parfois. Le risque est d’ailleurs plus important en été.

L’homme n’est pas seul à être friand de ce « bivalve lamellibranche » : les goélands, les étoiles de mer, les crabes, sont autant de prédateurs qui se nourrissent de moules.

Le byssus permet à la moule de se fixer sur les rochers ou sur les pieux et cordes des mytiliculteurs.

Pour la cueillette des moules, les bottes ou des sandalettes en plastique sont de rigueur. Les gants permettent également de se prémunir des coupures occasionnées par les balanes (carapaces rugueuses collées à la moule). Surtout garder un œil sur la remontée de la mer. Ne restez pas prisonnier des eaux sur un rocher. Il est d’ailleurs conseillé de s’habiller avec des couleurs vives pour être facilement repéré.



Dernière édition par Raedan le Mar 17 Mai - 12:59, édité 1 fois
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Kaiso
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMar 17 Mai - 12:34

Il existe un grand nombre de théories des cordes. Elles reposent toutes sur l'idée de ne pas considérer les entités élémentaires de la physique comme des particules ponctuelles (de dimension 0) mais des cordes qui formeraient des boucles d'une taille finie, de l'ordre de la longueur de Planck.Ces cordes vibreraient comme des cordes de violon, et des différents modes de vibration donneraient naissance aus spins 0,h/(2Pi),2h/(2Pi),... et aussi dans les versions supersymétriques aux spins 0, h/(4Pi),3h/(4Pi),...La physique changerait de nouveau son paradigme, avec des entités élémentaires qui ne seraient plus des particules ponctuelles mais des cordes minuscules. La théorie mathématique utilisée est la théorie des surfaces de Riemann à deux dimensions, les quatre dimensions de l'espace et du temps n'émergeant que comme concepts secondaires. Une théorie des cordes devrait satisfaire un certain nombre de conditions physiques:
Tous les objets du modèle standard, aussi bien les particules sources (les quarks et les leptons) que les messagers (comme les gluons, les photons, les W+ - et Z^0 (bosons)), ou que les Higgs devraient rentrer dans ce cadre.
Ce devrait être une théorie géométrique, puisqu'il lui faut englober la théorie d'Einstein de la gravitation.
Elle devrait décrire la gravité sans aucun infini.
Remplir ces trois conditions tiendrait du miracle, mais ce miracle semble bien être en train de se produire, tout au moins dans un espace-temps à dix dimensions où une théorie unique des supercordes semble s'être fait jour, à la suite des travaux de Green et Scwartz, en automne 1984.
L'espace-temps qui émerge de cette théorie des cordes unique a,comme nous l'avons dit, dix dimensions. Il faudrait une "compactification" de six dimensions pour retomber dans un espace-temps réaliste. Et il restera encore à descendre de la masse de Planck jusqu'aux particules W et Z, soit environ 10² fois la masse du proton. Malheureusement, l'unicité qui rendait la théorie des cordes si attachante à dix dimensions ne semble pas survivre au retour à quatre dimensions:un million de théories au moins semblent aussi viables les unes que les autres. C'est un obstacle théorique que les cordes doivent maintenant affronter (sans parler du problème expérimental que pose la construction d'un accélérateur particulaire capable d'atteindre l'énergie de Planck (il devrait être long de dix années lumières). Les cordes pourraient-elles fournir la Théorie du Tout (TDT) qui engloberait toutes les particules sources connues, les quarks, les leptons, les messagers connus et les Higgs plus toutes leurs intéractions mutuelles? Deux types de cordes sont envisageables: ouvertes ou fermées.
Essayons d'approcher cette théorie par un exemple simple:
Imaginez une corde de guitare qui a été accordée en augmentant la tension de la corde. Selon la façon dont on pince la corde et selon la tension de celle-ci, des notes différentes seront crées par la corde. On pourrait dire que ces notes sont des modes d'excitation de la corde de guitare...
D'une façon similaire, dans la théorie des cordes, les particules élémentaires que nous observons dans les accélérateurs particulaires peuvent être comparées à des "notes de musique" ou à des modes d'excitation de cordes élémentaires.
Dans la théorie des cordes ,comme pour la pratique de la guitare, la corde doit être étirée pour qu'elle devienne ensuite excitée. Cependant, les cordes dans la théorie des cordes flottent dans l'espace-temps ,et ne sont pas attachées à une guitare. Mais elles ont tout de même une tension. La tension d'une corde dans la théorie des cordes est donnée par la quantitée 1/(2 p a'),où a représente le carré de la longueur de la corde.
Une corde typique serait si petite qu'il faudrait en mettre 10e20 bout à bout pour atteindre le diamètre d'un simple proton. Il n'existe sur Terre aucun moyen de tester en laboratoire de façon expérimentale la structure de la matière à cette échelle, il faudrait pour cela un accélérateur de particules plus grand que la Terre elle-même.
Alors que le chemin d'une particule normale dans l'espace temps est une ligne (ligne d'univers), le chemin d'une corde sera une surface bidimensionelle (feuille d'univers), une bande ou un cylindre selon le type de corde.
Deux morceaux de cordes peuvent s'ajouter pour former une seule corde. De même, un morceau de corde peut se diviser en 2 cordes. Ainsi, l'émission ou l'absorption d'une particule par une autre peut se traduire en terme de "cordes" par la division ou la jonction de cordes.
Les physiciens mathématiciens sont cependant très intéressés par les implications de la théorie des cordes : tout en fournissant une explication du comportement connu de particules comme les électrons et les protons, elle donne une description de la gravitation en termes de comportement de cordes vibrantes ayant la forme de boucles. De nombreux physiciens estiment que les supercordres constituent donc le meilleur espoir de pouvoir développer un jour une "théorie du tout" fondamentale.
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tadpoils
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMar 17 Mai - 16:54

Le bigorneau est un petit gastéropode marin comestible à coquille spiralée d’un brun olive à noir, de 2 à 3 cm de long, aux parois épaisses. Ouverture ovale, pointue vers le haut.

Que savons-nous du bigorneaux ?

Le bigorneau (Littoria littorea)…(de bigorne : petite enclume à deux cornes utilisée par les orfèvres). Appelé aussi littorine, vignot ou vigneau, brelin, guignette.

Le bigorneau est un petit gastéropode marin comestible à coquille spiralée d’un brun olive à noir, de 2 à 3 cm de long, aux parois épaisses. Ouverture ovale, pointue vers le haut. Il vit en colonies, de préférence en eaux peu profondes, sur sol limoneux, algues ou pierres. Bien protégé des vagues par une coquille solide, il rampe sur son pied en broutant des bouts d'algues, en particulier d'algues vertes comme l'ulve, la laitue de mer.
On le trouve le long des côtes de l’Atlantique, les côtes normandes et bretonnes, en Méditerranée.

Comment les choisir les bigorneaux ?

Les acheter vivants avec l’opercule bien adhérant à la chair. L’odeur doit être agréable.

Comment cuire les bigorneaux ?

Laver les bigorneaux deux fois à l'eau froide. Les mettre dans une casserole avec de l'eau dépassant de quelques centimètres, ajouter du gros sel de mer, une feuille de laurier. Après le premier bouillonnement, compter 3 minutes, égoutter (pas plus sinon il devient cassant).
Pour l'extraire de sa coquille, il faut le servir avec une épingle.
Le plus souvent, il est simplement présenté en amuse-gueule, chaud, avec du pain de seigle, du beurre. Décortiqué, il peut être préparé en sauce, sauté à l’ail ou en salade.
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Shojin
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 18 Mai - 7:29

De par sa riche innervation, l’ANUS permet des pratiques sexuelles telles que la sodomie, l’anulingus ou le fisting. Ces pratiques sont perçues comme agréables par les hommes qui les pratiquent en raison de la stimulation de la prostate engendrée par la procédure[réf. nécessaire]. Il existe aussi, pratique répandue dans le milieu extreme porn, la prolapse, qui consiste en une dilatation de l’anus jusqu’à ce que ce dernier sorte littéralement du corps, soit un déplacement du rectum et de l’anus.

La région anale est une des zones érogènes du corps. Mais l’anus n’est pas aussi spontanément érogène que les organes génitaux, et il faut parfois répéter régulièrement les stimulations pour éveiller la sensibilité érogène de la région anale. Chez un tiers des personnes qui pratiquent régulièrement les stimulations anales, ces stimulations peuvent déclencher l’orgasme

L’abcès anal (aussi appelé abcès ano-rectal car les causes en sont souvent similaires dans toute la région anale et rectale, la différence étant la localisation) est une infection purulente et douloureuse de la paroi anale exodermique. Les causes d’un tel abcès peuvent être :
des parasites intestinaux (Ténia ou vers solitaire, metondoha vulgari…),
un herpès génital de type 2,
une fissure anale (ci-dessous).

Il peut aussi se développer de façon secondaire à l’apparition d’une fistule anale (ci-dessous), mais généralement sans en avoir la gravité, car l’abcès n’est généralement pas aussi douloureux. Il peut aussi en être la cause, si l’abcès n’est pas traité.

La fissure anale est une dégradation de la peau autour de l’anus, suite à l’introduction d’objet contondant (coloscopie sans les mesures d’hygiène nécessaires, pratiques sexuelles risquées : fistfucking, sodomie sans lubrifiant, etc.). Dans certains cas, la fissure peut être hémorragique si elle touche le système hémorroïdaire, elle provoque ainsi de grosses douleurs.

La fistule anale est l’apparition d’un conduit entre le canal anal et la peau, pouvant traverser le sphincter anal, généralement causée par une infection.

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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 18 Mai - 10:47

MDR Shojin
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 18 Mai - 10:51

La décapitation est une méthode d’exécution consistant à séparer la tête du corps, usuellement réalisée à l'aide d'un couteau, d'une épée, d'un sabre, d'une hache, d’un tranche-tête ou d'une guillotine. Généralement, dans les cas de décapitation effectuée à l'épée ou à la hache, le condamné devait au préalable poser la tête sur un billot.

De manière plus littéraire ou liturgique, on parle aussi de décollation (couper le cou) ou même de décollement (séparation de deux organes).

La valeur symbolique de la décapitation a varié selon les époques et les contextes. Lorsque la France révolutionnaire l'adopte, elle est considérée comme reflètant une certaine égalité (car sous l'Ancien Régime on décapitait les nobles mais il y avait une multitude de supplices pour le tiers état). La guillotine est alors un progrès puisque la souffrance est censée être supprimée.

Mais dans le contexte actuel (recul de la peine de mort en occident, caractère souvent public des exécutions dans les pays où la décollation est encore pratiquée, caractère parfois bénin des « crimes » ainsi punis), elle est plutôt considérée comme une méthode barbare et sanguinaire.

La décapitation peut être également réalisée sur le corps d'un homme mort. La tête est ensuite exhibée, de manière à traumatiser une population ou/et à humilier la personne morte, voire pour en retirer une rétribution.

Les décapitations et expositions de têtes en Chine ont été souvent représentées, soit par le dessin, soit par la photographie.

La décapitation a été utilisée comme peine de mort pendant des millénaires. Les termes « punition capitale », « crime capital » ou « peine capitale » proviennent d'ailleurs de la racine latine caput, "la tête", se référant à la punition pour les infractions graves impliquant la perte de la tête. La décapitation par l'épée (ou par hache, autre arme de guerre) était considérée comme une façon « honorable » de mourir pour un aristocrate qui était au Moyen Âge un guerrier susceptible de mourir par l'épée lors d'un combat, alors que la mort sur la potence ou par le bûcher était vue comme « déshonorante» par cette classe.

Si la hache du bourreau ou l'épée était bien aiguisée, la décapitation était rapide et présumée être une peine de mort indolore. Si le tranchant de l'instrument était émoussé ou le bourreau maladroit, plusieurs tentatives pouvaient être nécessaires pour trancher la tête (par exemple exécutions de Robert Devereux, Marie Ire d'Écosse ou Cécile de Rome). Aussi recommandait-on au condamné à mort de donner une pièce d'or au bourreau pour s'assurer qu'il ferait son travail avec soin.

Pour que le coup soit fatal, l'instrument des bourreaux était généralement de lourdes épées ou haches manipulées à deux mains.
La décapitation par la guillotine était censée être nouveau mode de châtiment égalitaire (s'appliquant à toutes les classes de la société), rapide et sans douleur, quelle que soit l'habileté du bourreau. Néanmoins plusieurs témoignages relatent que la tête du condamné pouvait rester consciente pendant une demi-minute, telle l'expérience du docteur Beaurieux qui, criant « Languille ! » au condamné Languille fraîchement décapité en  1905, vit l'exécuté rouvrir les yeux et fixer le docteur.

Des expériences neuroscientifiques d'électro-encéphalographie sur le crâne de rats décapités en 2011 confirment ces témoignages : elles montrent que les ondes électriques de « conscience » restent visibles environ quatre secondes après la décapitation, puis disparaissent au bout de 17 secondes (ce qui correspond à un état second de torpeur sans aucune conscience) et au-delà de 50 secondes, une onde de basse fréquence intense est enregistrée, correspondant à la mort cellulaire définitive.

En France sous l'Ancien Régime, la décapitation, appelée décollement, était un privilège nobiliaire pour les exécutions capitales, par opposition à la peine de pendaison pour les roturiers, considérée comme infamante. Elle était pratiquée à l'aide d'une épée ou d'une hache, le supplicié étant à genoux sa tête devait parfois être préalablement posée sur billot.
La décapitation à l'épée, considérée comme plus efficace (elle ne nécessitait souvent qu'un seul coup), fera notamment la réputation des bourreaux français qui affectionnaient cette méthode plutôt que celle utilisant la hache. À tel point que lorsque le roi Henri VIII d'Angleterre fit exécuter sa seconde épouse Anne Boleyn en 1536, il lui octroya le privilège d'être décapitée « à la française ». On fit alors venir expressément à Londres le bourreau de Calais (ville anglaise à l'époque) pour procéder à la sentence. Sa cinquième femme, Catherine Howard fut exécutée de la même manière en 1542.

Le 6 octobre 1791 est inscrite dans le Code pénal français la phrase « Tout condamné à mort aura la tête tranchée ». C'est ainsi que la décapitation fut la seule méthode d'exécution des civils (les militaires utilisaient le peloton d'exécution) jusqu'à son abolition définitive en 1981. La décapitation était réalisée à l'aide d'une guillotine.

Cependant, lors de la conquête de l'Algérie par la France, il était d’usage jusqu'au 16 février 1843 de faire décapiter les condamnés à mort à l'aide d'un yatagan par des bourreaux indigènes. Suite à une exécution à Alger qui, le 3 mai 1842, avait tourné à la boucherie, le ministre de la guerre, le général Amédée Despans-Cubières, fit introduire l’usage de la guillotine en Algérie française et exigea que les exécuteurs soient européens(même après cette décision l’usage du yatagan aurait perduré pendant encore plusieurs années).
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Nöra
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 18 Mai - 11:07

Eric Théodore "Cartman" Tenorman Cartman, est un personnage principal avec Kyle, Stan et Kenny de la série télévisée d'animation South Park, doublé par Trey Parker dans la version originale et par Christophe Lemoine dans la version française. C'est un enfant de neuf ans, il est un des quatre personnages principaux de la série.

Cartman est un antihéros : souvent opposé moralement à ses « meilleurs amis » qu'il hait ouvertement et qu'il n'hésite pas à trahir, il est égoïste, manipulateur, profiteur, égocentrique, possessif, grossier, xénophobe, sadique, raciste, machiavélique, paranoïaque, pro-Hitlérien, antisémite, sexiste, cupide et prêcheur de sa propre version de la religion. Il hait particulièrement les juifs, les hippies, les rouquins, les personnes âgées, les chinois, les pauvres, les Griffin et Scott Tenorman
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyJeu 19 Mai - 22:01

Mais omg ce post chui morte de rire !
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyJeu 19 Mai - 22:16

Nibiru et les Summeriens :

Il y a 6000 ans, la première grande civilisation sumer, fut fondée entre l'Euphrate et le Tigre, par les Sumeriens. Zecharia Sitchin, historien d'origine Russe s'intéressant aux langues, à l'histoire et à l'archéologie de l'Orient ancien, conclut en 1976 une genèse de l'homo sapiens en accord avec celle des Tibétains, des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel). Les Annunakiens des mythes Sumériens, "ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système solaire qui fait le tour du soleil en 3600 ans, la planète Nibiru.

Il est curieux de noter que les phases évolutives de l'humanité se font au rythme de 3600 ans c'est-à-dire qu'à chaque retour de la planète Nibiru, une nouvelle phase civilisatrice commence. 11 000 ans Av. J.C. : l'agriculture ; 75 000 av. J.C. la culture néolithique puis 3800 ans av. J.C. la civilisation sumérienne.

La dernière fois que Nibiru serait passée, était à l'époque de Moïse. 1300 - 1250 ans av J.C. Deux faits furent marquant: d'abord la manne céleste. Son explication tient au fait que Nibiru, planète-comète, aurait une queue. Celle-ci, outre des particules allant du gravier aux pierres plus grosses, contiendrait des substances pétrolifères qui au contact de notre atmosphère se précipitent telle une rosée sucrée très riche en protéines et comestible. L'autre point serait l'ouverture de la Mer Rouge devant les Hébreux. Il s'est agi sous l'effet de l'attraction de Nibiru de remontées de plaques tectoniques qui ont momentanément scindé la mer en deux avant de s'effondrer engloutissant ainsi les Egyptiens. Dans ce ca, la Planète, sera au plus près de nous dans 250 à 300 ans par rapport à la date estimée de la vie de Moïse. Certains de ses passages ont été catastrophiques d'autres non. En tout cas, cela valide les écrits sumériens.

Selon des chercheurs et ufologues, les habitants de cette planète, les Nibiriens, (ou les Anunnaki, Nephilim, Elohim, Mardukiens, etc.), atterrirent sur notre Terre pour la première fois il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète. Ils se mirent à extraire l'or et d'autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l'homo sapiens il y a 300.000 ans environ par manipulations génétiques sur des femelles d' hominiens. Ils avaient besoin d'aide, car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières premières. La Mésopotamie fut leur première colonie.

Selon le mythe, les dirigeants des civilisations extra-terrestres devaient faire face à des rivalités dues à la conduite à mené face à leur création. Les hommes qui n'étaient rien d'autre que des esclaves, furent soumis à la famine, aux maladies et à des guerres biologiques. Les textes de Mésopotamie montrent que tous ces moyens s'étant révélé inefficaces pour faire régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge. Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que " EA ", Prince extra-terrestre de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda cette "Confrérie du Serpent". Mais la confrérie fut vaincue par d'autres groupes des extra-terrestres régnants, EA fut banni sur Terre. De " Prince de la Terre ", il passa " Prince des ténèbres ". On enseigna aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.

Les Mayas:

Les prophéties des Mayas indiquent que nous sommes parvenus à la fin d'un dernier cycle d'existence pour nos civilisations. Les dates données de ce cycle correspondent pour le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin. A ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.

Prophéties des Hopis :

Chez les indiens Hopis d'Amérique du Nord, l'une d'elles dit ceci : "Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s'est déjà produit il y a des milliers d'années. C'est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement". Des " étoiles en une seule rangée " ? Voilà un élément qui évoque l'alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D'après cette prophétie, outre d'immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d'une nouvelle ère glaciaire. Les prophéties des Hopis auraient été communiquées à leurs prophètes par le Créateur lui-même. Elles peuvent ou ne peuvent pas se concrétiser. Il s'agit donc davantage de probabilités modifiables selon la volonté du Créateur ou des hommes, d'après ce que prétendent les Hopis qui les ont faites. Celles qui se sont réalisées sont tellement impressionnantes que le livre des prophéties des Hopis (Hotevilla) a été traduit en Français par l'Unesco
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Nute
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyJeu 19 Mai - 22:39

Beignets de requin au gingembre pimenté

  • Type de plat : Entrée
  • Nb de personnes : 4
  • Difficulté : Facile
  • Coût : Assez cher
  • Préparation : 15mn
  • Cuisson : 10mn
  • Temps total : 25mn


INGRÉDIENTS

  • 300 g de pavé de requin sans arêtes ni peau
  • 150 g de farine
  • 1 cuillère à café de gingembre haché ( au mixer)
  • 8 gousses d’ail mixées
  • 3 cuillères à soupe de crème fraîche
  • 2 échalotes hachées
  • 2 œufs
  • 1 botte de persil haché
  • 3 cuillères à soupe d’huile
  • 1 cuillère à café de purée de piment
  • 2 cuillères à soupe de fond de volaille en poudre
  • Huile de friture
  • Sel, poivre


RECETTE


  1. Couper les pavés de requin en gros dés. Les laver.
  2. Les mélanger avec l’ail, l'échalote et le persil. Ajouter le piment et le gingembre de façon à faire une marinade.
  3. Y incorporer 2 cuillères à soupe de fond de volaille en poudre. Bien mélanger et réserver au frais.
  4. Veiller à ce que les dés restent entiers et fermes.
  5. Dans un saladier, battre les jaunes d’œufs avec la crème fraîche, une pincée de sel, l’huile, 3 cuillères à soupe d’eau chaude, la farine et du poivre. Veiller à obtenir une pâte lisse. Ajouter les blancs d’œufs montés en neige. Y tremper les dés de requin marinés et faire frire dans l’huile bouillante.
  6. Servir chaud et doré.
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Clemslo
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 10 Aoû - 4:01

Combien de Mon Chéri faut-il manger pour être ivre? La question peut paraître surprenante, mais plusieurs internautes se la sont déjà posée, notamment sur Twitter. «Les statistiques et des études poussées ont fait ressortir que l’absorption de deux petits Mon Chéri de rien du tout faisait apparaître 0.8 gramme d’alcool par litre dans le sang» peut-on également lire sur un forum Internet. Est-il vraiment possible de dépasser la limite d’alcoolémie autorisée au volant, qui est en Francede 0,5 g par litre de sang, après quelques chocolats à la liqueur?

Les chocolats Mon Chéri contiennent 13% d’une liqueur composée de «sirop de glucose, eau, alcool, sucre, arômes» comme on peut le lire sur l’emballage. Mais la teneur en alcool n’est précisée nulle part. Impossible pour le consommateur avec ces seules informations de savoir au bout de combien de chocolats il doit renoncer à prendre le volant. Contacté par Slate.fr sur le degré d’alcool de la fameuse liqueur, Ferrero livre la réponse suivante:

«Le taux alcoolique des chocolats Mon Chéri est de 8ml/100g»
Quel degré d’alcool pour la liqueur?

En d’autres termes, il y a 8 ml d’alcool pur dans 100 grammes de Mon Chéri. Ce chiffre permet déjà de calculer le degré d’alcool de la liqueur utilisée par Ferrero dans la fabrication de son produit.

La densité de l’éthanol (le nom de l’alcool pur) est d’environ 0,8. Cela signifie que la masse d’1 ml d’alcool pur équivaut à 0,8 g (cette équivalence varie selon la température, mais prenons une densité de 0,8 comme valeur indicative). Donc 8 ml d’alcool pur équivalent à 6,4 grammes.

En sachant qu’un Mon Chéri contient 13% de liqueur (13 g dans 100g de Mon Chéri), qui correspondent à 6,4 g d’alcool pur, on peut en déduire grâce à une règle de trois que la liqueur a une teneur en alcool d’environ 49°.

Degré d’alcool de la liqueur = (6,4 x 100) / 13 = 49,23

Une teneur qui en fait une liqueur plutôt forte (cela varie généralement entre 15° et 55°).
La tolérance à l'alcool

Avant de poursuivre les calculs, des précisions s’imposent. D’abord, nous ne sommes pas tous égaux face à l’alcool. Le sentiment d’ivresse est lié à l’alcoolémie, c'est-à-dire au taux d’alcool dans le sang, mais la relation entre les deux est très variable d’une personne à l’autre, c’est ce que l’on appelle la tolérance à l’alcool.

Cette tolérance dépend du poids, de l’âge, du sexe mais aussi de l’habitude ou encore de l’état psychologique ou mental dans lequel on se trouve au moment de la consommation d’alcool. Ainsi, une femme de 60 ans qui pèse 50 kg et n’a pas l’habitude de boire ressentira pour une même quantité d’alcool dans le sang une ivresse plus importante qu’un homme de 25 ans de 110 kg porté sur la bouteille.

Ensuite, les calculs qui suivent concernent l’alcoolémie théorique, c'est-à-dire pour une personne qui absorberait des Mon Chéri en une fois et à jeun. En effet, l’alcoolémie est un niveau à un temps donné, mais dès que l’alcool est dans le sang, il commence à être éliminé progressivement, essentiellement par le foie.
Alcool pur

Prenons donc comme cobaye un homme de 80 kg, et calculons le nombre de Mon Chéri qu’il doit manger pour atteindre une alcoolémie de 0,5 gramme par litre de sang, soit la limite légale en France pour conduire. La formule de Widmark permet de calculer la quantité d’alcool dans le sang théorique. Pour les hommes, elle est la suivante:

Alcoolémie = quantité d’alcool en grammes / (poids en kg x 0,7)

Chez les femmes, on remplace 0,7 par 0,6.

Pour que le taux d’alcool dans le sang d’un homme de 80 kg dépasse la limite légale sur la route de 0,5 grammes par litre de sang, il doit donc avoir bu 0,5 x 80 x 0,7, soit 28 g d’alcool pur, à jeun et en une fois.
Combien d’alcool dans un Mon Chéri

En sachant qu’un Mon Chéri pèse 12,5 g et qu’il y a 6,4 g d’alcool pour 100 g de Mon Chéri, une règle de trois permet de déterminer qu’il y a 0,8 g d’alcool pur dans un Mon Chéri.

Quantité d’alcool pur dans un Mon Chéri = (6,4 x 12,5) / 100 = 0,8 gramme

Pour comparaison, un verre de vin à 12° de 100 ml contient 9,5 g d’alcool pur.

Un homme de 80 kg doit donc manger en théorie 35 Mon Chéri (35 fois 0,8 g d’alcool pur) pour ingurgiter 28 g d’alcool pur et atteindre la limite légale d’alcool dans le sang au volant.
Le sucre

Mais le calcul ne s’arrête pas là. L’apport calorique très important des sucres et des graisses contenus dans une telle quantité de chocolats ralentirait considérablement l’absorption de l’alcool et le pic d’alcoolémie ne serait probablement pas atteint. Il faudrait donc plutôt autour de 45 Mon Chéri pour atteindre vraiment un pic de 0,5 g d’alcool par litre de sang chez un homme de 80 kg.

Pour comparaison, et en reprenant le même calcul à l’aide de la formule de Widmark, une femme de 60 kg a besoin d’environ 23 Mon Chéri pour atteindre ce taux d’alcool dans le sang, et 30 Mon Chéri en tenant compte du ralentissement de l’absorption de l’alcool. Les amateurs de la gourmandise de Ferrero peuvent donc se rassurer, impossible de se faire contrôler au-dessus de la limite légale au volant après avoir mangé seulement deux Mon Chéri, contrairement à des légendes urbaines qui circulent sur Internet.

Et qu’il s’agisse d’une femme de 60 kg ou d’un homme de 80 kg, se saouler au Mon Chéri comporte un obstacle de taille: la digestion. En sachant qu’un Mon Chéri de 12,5 g contient 5 g de sucre, en manger 45 revient en effet à manger 225 grammes de sucre.

Le corps humain étant fait pour lutter contre la famine, il est doté d’un système capable d’absorber la quasi-totalité de ce qu'il ingère. Quand on mange un Mon Chéri, la mastication et la sécrétion d’acide dans l’estomac solubilisent le chocolat, le rendant plus facile à absorber.

Mais la consommation de grandes quantités de chocolat entraîne facilement une dyspepsie, le terme scientifique pour ce que l’on appelle communément la crise de foie, accompagnée de nausées qui feront passer à beaucoup l’envie d’atteindre les 40 Mon Chéri.

Explication Bonus: pourquoi n’y a-t-il pas la mention «l’abus d’alcool est dangereux pour la santé» sur les publicités pour les chocolats Mon Chéri?

L'article L. 3323-4 du code de la santé publique impose l'apposition, sur tout support publicitaire autorisé en faveur des boissons alcooliques, d'un message sanitaire précisant que l'abus d'alcool est dangereux pour la santé. Mais cette obligation ne concerne que les boissons alcooliques, et non les denrées alimentaires, comme les Mon Chéri, qui contiennent pourtant de l'alcool.

Grégoire Fleurot

L’explication remercie, Philippe Batel, chef du service d'addictologie de l'hôpital Beaujon à Clichy, Stéphane Schneider, hépato-gastro-entérologue à Nice, membre de la Société nationale française de gastro-entérologie (SNFGE), William Lowenstein, addictologue, la Direction générale de la Santé, Ferrero et Julia Vergely pour s’être posé la question.
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 10 Aoû - 6:00

Les Kurdes sont un peuple d'origine indo-européenne descendant vraisemblablement des Mèdes5 (ou plus précisément des Kardouques6), comptant approximativement entre 253 et 37 millions de personnes, vivant surtout en Turquie (entre 11,5 et 20 millions), en Iran (environ 7 millions), en Irak (environ 6 millions) et en Syrie (environ 2 millions), dans ce qui est appelé le Kurdistan. Il existe également des communautés kurdes en Arménie, au Haut-Karabakh (Karvachar et Berdzor), en Azerbaïdjan, au Liban et au Koweït. Quatre pays se partagent le territoire de la nation kurde qui forme depuis l'antiquité, un peuple à part. Divisés, prenant les armes tour à tour contre les États qui veulent les réduire, les Kurdes rêvent de leur souveraineté.

Depuis un siècle, certains Kurdes luttent pour leur autodétermination, afin d'avoir leur propre patrie, le Kurdistan. Tous les États qui abritent une communauté non-négligeable de Kurdes s’opposent activement à la création d’un État kurde, craignant de devoir abandonner une partie de leur territoire national.

Une émigration récente a entraîné l'apparition d'une diaspora kurde qui est présente dans tous les pays de l'Europe occidentale, aux États-Unis et en Australie. L'ancienne communauté qui était près de Kaboul quitta le pays pendant la guerre d'Afghanistan à la fin des années 1970. Traditionnellement les Kurdes sont des gardiens de troupeaux nomades, mais ils sont désormais plus sédentaires.

Les Kurdes parlent des dialectes proches les uns des autres, tous issus du kurde, langue indo-européenne de la branche iranienne. Le kurde utilise des alphabets différents (latin, cyrillique, arabe, persan) et connaît plusieurs variantes : le sorani (Iran, Irak), le kurmandji (Turquie, Syrie, Irak, Caucase) ou le zazaki (Turquie). La majorité des Kurdes est sunnite (80 %), mais il existe d'autres communautés, alévie, yézidie, juive (actuellement en Israël) et dans une plus faible proportion, chiite et chrétienne, en Irak et en Iran.
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 10 Aoû - 9:01

Hey guys, moi je vais vous parler : des Mathématiques !

Mais arrêtons un peu, que puissions dire là-dessus sinon qu'on le défini comme une science d'inutilité publique, vieille comme le monde, Chuck Norris en connaît beaucoup. Parmi ses connaissances avancées, nous pouvons citer: la division par zéro. Cet art peu compréhensible est parfois assimilé à une secte obscure au but non-déterminé dont il vaut mieux ne pas fréquenter les membres, épris d'intégrales, de théorèmes,... et autres notions inaccessibles à tout-un-chacun. A un certain niveau, les maths ressemblent plus à de l'orthographe (19x³+x-47/(x²-2x) ou cotg 2a + 4 sin a/cos²a tg³a,par exemple) qu'à de vrais calculs.

Selon l'éminentissime pr. Cavanna, le mot "mathématique" viendrait de "mathé", qui veut dire "concombre", et "matiques" pour faire joli, en référence à Pythagore et Euclide, deux grecs fêlés, instruments de la volonté du tout-puissant-là-haut, qui apprirent les mathématiques au reste du monde avec des concombres plantés sur les doigts.

Mathématique

toute formule mathématique doit être inscrite sur un tableau noir afin de passer à la postérité

Tout d'abord, et avant de se perdre en fausse spéculations et autre diarrhées verbales, il nous semble utile de poser ici un fait. En effet, il est commun entre mathématiciens de pratiquer une politique de violence au sujet du mot même désignant leur discipline. Les mathématique et les mathématique"s" ? Pour passer outre les protestations indignées de quelques clergés hypocondriaques de la racine carrée, nous utiliserons ici le mot sans "s" final. Pour expliquer cela, nous donnerons l'argumentation suivante : « Les mathématiques sont déjà assez chiants sans "s" pour qu'en plus on ne leur rajoute pas une lettre ! ». De plus, bien prétentieux sont ceux qui parlent de "maths" sans même maîtriser les "mathématiques" : où va-t-on ? C'est dit.

Origines

Dieu créa le monde en 5 jours, et l'homme le sixième. Mais le septième, las, il posa un jour de RTT et s'affala comme une divine bouse dans son canapé. Après avoir zappé durant quelques temps, après même avoir regardé pendant quelques minutes Michel Drucker (faut bien que quelqu'un en soit capable, pas vrai ?), Dieu dut se rendre à l'évidence, et il eut cette phrase qui resta dans les anales et qui retranscrivait alors très bien son état d'esprit du moment : « Bon sang, qu'est-ce que je m'emmerde ! » Dieu se souvient alors qu'il n'avait créé que du bon pour l'homme, et décida alors de lui créer un peu de mal, comme ça, pour rigoler, parce qu'en fait, il faut l'équilibre du bien et du mal et gna gna gna gna gna. Le souverain décideur de ce monde morveux chercha longtemps pour trouver LE fléau à infliger à l'homme, le must-have, le béteur du béteur. Il eut d'abord l'idée de créer la femme, mais il savait pouvoir faire mieux. Alors l'idée lui vint de créer un truc ignoble, d'ailleurs, il faut le dire, il s'étonna lui-même. Les mathématique. Heureusement pour nous, il a aussi créé le pouvoir de s'en moquer. Ne nous en privons pas...

L'utilité des Maths

Nous sommes tous d'accord, les maths sont évidemment utiles ! Que ferait-on sans eux ? En effet savoir effectuer des opérations sur les vecteurs ou alors de savoir résoudre des équations du cinquième degré avec deux inconnues est indispensable dans toute activité professionnelle !

Elle permettent en plus de connaître le nombre de cotés adjacents de Dieu par l'équation différentielle partielle : , qu'on peut éventuellement résoudre en intégrant sur tout l'univers et en faisant le produit du résultat par la matrice 2*2 mise à l'exposant . Notons qu'il reste encore à découvrir les valeurs de x et de y.

Pour parer à la controverse qui plane malgré tout sur l'(in)utilité des mathématiques, les plus grands mathématiciens se sont attelés à démontrer l'utilité des maths. Et ils ont réussi ! Ainsi donc, les mathématiques permettent de démontrer l'utilité des mathématiques !

Les mathématiques sont donc utiles. (car qu'est-ce qui est plus utile que les mathématiques ?)

« Totalement inutile, donc absolument indispensable »
~ Moi à propos des mathématiques

Dominants/Dominés

Loin de nous l'envie de nous attarder ici sur les dominés, car comme vous devez le savoir, en mathématique, les dominés, les sodomisés perpétuels, ce sont toujours les mêmes, et on les connaît. Il s'agit d'ailleurs d'un célèbre exemple utilisé par Karl Marx dans sa théorie de la lutte des classes : La pensée dominante est celle de la classe dominante, ce qui explique qu'on pense souvent que les profs de maths ont raison devant leurs élèves. Non, ici, parlons des dominants en math : Les profs de math, sinistre engeance. En effet, les maths sont une tanière propice à la vengeance pour tous les rejetons sévicés dès le berceau, les traumatisés par sodomites interposés et autres frustrés de l'organe viril. Attention à vous, évitez-les comme la peste, car même la peste a peur d'eux. Mais il y a pire : il arrive qu'un ou une prof de math ne stoppe net sa glorieuse carrière à la gloire égoïste du mal, pour aller voir ailleurs, et devenir le pire de pire, pire encore qu'un prof de math, pire qu'un mathématicien, pire qu'une blague à la Bruno Latour : certains peuvent même arriver jusqu'à bosser chez Nintendo ou devenir chanteur(se) de variété québécoise ! Restez vigilant.

Les mathématique en chiffres

chiffre remarquable


description affligeante

1.010.258

C'est le nombre d'enseignant dans la matière maudite, fidèles serviteur de la racine treizième de deux, éparpillés dans le monde. Et en liberté !

2,5

(sur 20) Note honorable en math.

1956

Date lambda, qui n'a rien à voir avec les maths, à ma connaissance.

racine treizième de deux

Nombre mis au point pour la satisfaction sexuelle solitaire de quelques professeurs de math

π

Indécision, orgie de chiffres après la virgule, appât à Paracétamol.

Le Super 8

Un nombre mis au point dans un bordel par les philosophes Chevalier et Laspales représentant la force ultime, le perfectide triangulus.

Puissance 4

Un nombre très important, repris par une compagnie de jeu pour enfant afin de les mathématiser dès leur plus jeune âge. Arme très vicieuse.

1337

Langage utilisé par les mathématiciens dans leur nombreux travaux. (Attention, il existe le piège dit : Grec)

41

car il précède 42 de 1

14

Situé pile poil (de couille) entre le rugby à 13 et le rugby à 15, il est à l'origine du Top14, une agence de porno gay spécialisée dans les calendriers

Citations

« Le problème, c'est les maths ! »
~ Edgar V. 8 ans 1/2 à propos d'un problème de maths

« Bien sûr que ça sert dans la vie de savoir calculer la longueur du côté adjacent du triangle rectangle Syène-Alexandrie-centre de la Terre »
~ Monsieur Gabriel Delay

« Les statistiques, c'est comme les bikinis, ça laisse voir des choses intéressantes mais ça cache l'essentiel »
~ Monsieur B.

« C'est important ce que je fais! Ce n'est pas de l'enculage de mouche! »
~ Madame Georges

« Lé mate c nul, jen é pa bazoin. »
~ Kevin B.

« Si les maths te mattent, préfère matter ta télé. »
~ Professeur B. Root

« Les problèmes d maths, j'en ai marr »
~ Une fille

« Bon sang, une racine treizième de deux ! Bandant ! »
~ Zacharie Bichboul

« Bitch ! »
~ Niels Bohr à propos de Madame Georges

« Les maths ? Ça sert à rien mais j'ai trouvé ça joli... »
~ Dieu (celui qu'a une barbe blanche)

« Y'en a qui son mort pour les MATEMATIKEU !!! »
~ Monsieur B.

« Que sous la torture les maths ! »
~ Maître Christophe

« T'a oublié l'unité à ton vecteur ! »
~ Le prince des Sables

« sa serre a rien les maths ses compliquer pour rien ...spa les math moi qui mon appris a changer des couches sibole d'ailleur ses pas l'école tout court qui ma appris la vie de tout les jours !!! »
~ Une [[|Femme|nana]]

« C'était presque trop facile... »
~ Un comique(suicidaire)qui sort d'un DS

« La différence entre les maths et le sexe : les maths, plus c'est dur, moins ca rentre. »
~ Igor Eoultracteur

« Les Math c'est comme les pruneaux... ça fait chier!! »
~ un éleve de BTS en pleine réflexion philosophique

« Les Maths c'est comme la vodka quand c'est pur ça arrache »
~ Yanick

« si vs croyer que les maths s apprend ds les lycees vs avez tord parceke les maths otour de ns sans maths la vie n a pa de sens »
~ Nourchen Ghorbel

« Le Prof : Jète un œil au tableau ! Le tout c'est d'avoir le compas dans l'œil *fier de soi*. L'élève : Je jette celui qui a le compas ou l'autre? »
~ Prof Dubinesk !

« Prenons une ficelle infinie, infinie des deux bouts bien entendu. »
~ Michèle B.

« Les matheux doivent faire converger leurs sommes. »
~ Sinistre inconu.

« J'ai maths et dessin »
~ un élève de 3° qui regarde son emploi du temps

« C'est une suite de Cauchy qui veut aller en boîte -C'est soirée no-limit- mais arrivée à l'entrée elle se fait refouler par le videur qui lui dit: "C'est complet!" »
~ un taupin bien atteint

« C'est exponentielle et logarithme qui vont au restau. Qui paye? Exponentielle bien sur, parce que logarithme népérien! »
~ Le même

« Les mathématiques, c'est pas automatique »
~ un prof de latin

« J'ai déjà compté jusqu'à l'infini, deux fois. »
~ Chuck Norris

« Les fonctions, c'est puissant ! »
~ Monsieur B

En conclusion

Les gens nous disent "faut pas tout voir en noir et blanc, mais en nuance de gris. Georgie le buisson, lui, nous dit "Nous les zaméricains on est le gentils, ben Laden c'est le méchant !". Alors que croire ? Concernant les maths, nous préfèrerons citer l'éminent professeur B. Good, qui nous dit en ces termes : "Il n'y a pas de noir ni de blanc, en math. Seulement du vide." Ainsi comme le dis Blue One : "Vive le X français" n'est-ce pas une variable ? Conclusion : Ne vous fiez pas aux apparences. Le preuve : Cet article vous paraît stupide ? Eh bien en réalité, il l'est encore plus que vous ne le pensez.

À bon entendeur...

De toute façon, on s'en fout, parce que [le monde] n'existe pas, votre prof de math n'existe pas, vous n'existez pas, et "la mathématique", comme dirait votre non-existant de bigleux prof de math (à la con, juste pour la forme hein), n'existe pas non plus. Une démonstration à cette réalité non-existante est disponible mais, de toute façon, elle n'existe pas
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyMer 10 Aoû - 18:16

GUATEMALA - Sortir de la crise du café

Le marché du café connaît une crise sans précédent liée à une surproduction. Elle affecte plus particulièrement le Guatemala, qui en est un des gros producteurs. Dans ce contexte, les solutions proposées par le gouvernement ne font pas l’unanimité, et d’autres propositions ont été élaborées par un collectif d’organisations. C’est ce que présente cet article de Jill Replogle, publié dans le numéro de Noticias Aliadas du 20 mai 2002.

Cette année, nombre des grains de café rouge éclatant, qui sont un élément clé de l’économie guatémaltèque, risquent de sécher sur l’arbre au lieu d’être transformés en bonnes tasses de café. Bien que la crise du café ne soit pas nouvelle en Amérique centrale, elle prend actuellement des proportions dramatiques au Guatemala.

Les paysans, avec parmi eux de nombreux saisonniers travaillant à la cueillette du café, ont installé des campements de fortune dans plus de 25 plantations de caoutchouc et de café du pays. Beaucoup disent qu’ils préfèrent lutter plutôt que mourir de faim. Médias et groupes communautaires ont dénoncé la réponse timide du gouvernement face aux problèmes des paysans et à la famine qui affecte plusieurs départements. Des fonctionnaires du gouvernement ont même reconnu que leurs tentatives pour réduire les effets de la crise du café s’avéraient trop tardives et insuffisantes.

Une coalition de paysans, de producteurs et de diverses organisations sociales a présenté une proposition alternative pour réformer le secteur du café cherchant à rompre avec les politiques d’économie de marché qui ont rendu de nombreux guatémaltèques dépendants de la principale culture d’exportation du pays.

Ce projet se démarque de ceux du gouvernement et du secteur privé en prévoyant des aides aux travailleurs du café sans terre ainsi qu’aux producteurs.

Pour la coalition, qui comprend la Coordination nationale indigène et paysanne (CONIC), le Centre pour l’action légale en droits humains (CALDH), la Pastorale interdiocèsaine de la terre et des organisations de travailleurs, la crise du café doit être l’occasion pour le pays d’établir « les bases d’une transformation du modèle économique d’exportation de matières premières, cause structurelle de la famine qui est aujourd’hui une réalité dans le Guatemala d’aujourd’hui ».

Sa proposition destinée à aider les paysans à obtenir des terres et à développer des stratégies de production commercialisable inclut une formation aux techniques de culture et de vente, des mécanismes cherchant à améliorer les conditions de travail et à garantir que les employeurs respectent les codes du travail et de la santé et la promotion d’activités alternatives sources de revenus, comme l’écotourisme.

Selon Fernando Montenegro, président de l’Association nationale du café (ANACAFE), qui regroupe les producteurs, il est prévu que les exportations de la récolte 2000-2001 chutent de 1,45 million de quintaux de café, ce qui représente une perte de 166,77 millions de dollars par rapport à la récolte antérieure. Il prévoit aussi la perte de quelque 100 000 emplois directs.

La crise actuelle résulte d’une surproduction sur le marché international qui a provoqué l’effondrement des cours du marché du café ces dernières années.

L’augmentation constante de la production vietnamienne durant les années 80, suite aux ajustements structurels encourageant la production destinée à l’exportation, ajoutée à la hausse de production de pays qui traditionnellement n’étaient pas producteurs, ont fini par saturer le marché de la fameuse graine.

En 1991, le Vietnam exportait l’équivalent de seulement 40 % des exportations du Guatemala. En 2000, la situation s’était inversée : les exportations de café du Guatemala ne représentaient plus qu’un tiers de celles du Vietnam.

Les exportations guatémaltèques de café ont chuté de 18,5 % entre la saison 2001/2002 et la saison précédente. La production du mois de janvier a été inférieure de 42 % à celle du même mois de l’année précédente. La consommation intérieure stagne depuis 1991.

La chute des cours du café a accentuée la crise économique. D’après le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), 57,9 % des Guatémaltèques vivent dans la pauvreté. Les 20 % les plus riches de la population accaparent 60,6 % des revenus tandis que les 20 % les plus pauvres en reçoivent 3,8 %.

Le gouvernement a mis en place deux programmes d’aide aux producteurs de café. Le premier consiste en un fonds de 100 millions de dollars pour diversifier les cultures, moderniser la production, développer les marchés et réaménager la dette. Le second est un programme de 2 milliards de dollars du ministère de l’agriculture qui incite les producteurs à substituer au café d’autres cultures.

La coalition s’est montrée critique vis-à-vis des deux programmes constatant qu’ils « ignorent les couches sociales les plus touchées par la crise, celles qui sont au bord de famine et sur le point de perdre leurs terres ».

Pour Úrsula Roldán, représentante de la Pastorale interdiocésaine, de l’Église catholique, les travailleurs du café sont contraints de chercher du travail en ville ou au Mexique. Abandonnés à leur sort, femmes et enfants finissent souvent par travailler dans des grandes propriétés, pour des salaires inférieurs au minimum légal. « Cela conduit à l’éclatement de la famille, à une alimentation déficiente et à l’exploitation des femmes et des enfants », ajoute Roldán. Bien qu’elle considère nécessaire le programme gouvernemental de cultures de substitution, elle doute que les grands propriétaires soient disposés à réaliser des changements. Beaucoup de plantations ont été abandonnées, et l’on suspecte plusieurs propriétaires de s’impliquer dans le trafic de drogues.

Les partisans de la réforme alternative s’interrogent aussi sur la stratégie de réduction de la pauvreté, soulignant qu’elle ne contient aucune mesure concernant les pertes d’emplois liées à la crise du café.

Les pays qui participent à l’aide au développement du Guatemala ont exprimé le souhait que ce plan offre un meilleur accès à la terre pour les paysans.

L’urgence d’une solution pour sortir de la crise du café augmente au fur et à mesure que s’accroissent la famine et le mécontentement dans les campagnes. Montenegro, qui est favorable à une solution politique, considère aussi qu’une correction du marché est indispensable pour refaire du café une culture d’exportation stable. « Nous sommes reconnaissants et apprécions l’aide de la communauté internationale, poursuit-il, mais nous l’apprécierions plus si on achetait nos produits à leur juste valeur. »

Certains pensent que le gouvernement doit prendre une position plus ferme. Dans un document présenté lors d’un forum sur la mondialisation en novembre dernier, Jorge Santos et Byron Garoz, membres du Collectif d’ONG et de coopératives (CONGCOOP), soutiennent que le gouvernement doit assumer à nouveau son rôle de promoteur du développement et ne pas s’incliner devant les forces du marché qui n’ont fait jusqu’à présent que démanteler l’appareil d’État, dont la fonction était de répondre aux besoins en matière sociale.
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyJeu 11 Aoû - 0:36

Dans de nombreuses cultures, le cannibalisme est considéré comme un acte atroce et sacrilège, alors que dans d’autres cultures, c’est une coutume sacrée.
Le cannibalisme semble avoir toujours existé et avoir persisté jusqu’à notre époque moderne. Son origine exacte est un mystère. Des anthropologues pensent qu’il est apparu au début de l’histoire des hommes et, par la suite, a proliféré avec le besoin grandissant des hommes d’apaiser leurs dieux, de survivre aux famines ou d’obtenir une vengeance ou un contrôle sur leurs ennemis.
Des études archéologiques montrent que le cannibalisme était pratiqué durant la période néolithique et l’âge de bronze, à travers l’Europe et l’Amérique, mais également en Afrique, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Moyen-Orient et en Asie.
Les motivations variaient selon les cultures et les situations, mais il semble que certaines formes de cannibalisme prévalaient dans certaines régions du monde et certaines périodes.

Les Aztèques du Mexique sont renommés pour avoir sacrifié et dévoré des centaines d’êtres humains par an. Ils s’en prenaient surtout aux autres peuples, mais il leur arrivait aussi de se manger entre eux et d’avoir recours au cannibalisme pour survivre lors des grandes famines. Les sacrifices humains et les cérémonies cannibales qui s’en suivaient étaient destinées à créer un équilibre universel entre le monde et le cosmos. Les Aztèques pensaient que sacrifier des humains apaisait leurs dieux et, ne pas le faire provoquerait la destruction de l’humanité. Le cannibalisme était donc pour eux un acte sacré, qui leur permettait également d’obtenir une sorte de pouvoir divin à travers une communication avec leurs dieux.
Les Iroquois, quant à eux, sacrifiaient et consommaient les corps de leurs ennemis afin de satisfaire leur dieu de la guerre, mais aussi pour absorber l’esprit de leurs ennemis dans leurs propres corps, obtenant ainsi les qualités et la force des guerriers adverses. Selon Moira Martingale, auteur de "Cannibal Killers", les Iroquois ont pratiqué ce cannibalisme rituel au moins jusqu’à la fin des années 1830.
Les Papous de Nouvelle-Guinée ont pratiqué le cannibalisme jusqu’aux années 1960, de façon rituelle. Certaines tribus le pratiquaient également parce qu’elles appréciaient le goût de la chair humaine. Mais la majorité des tribus papoues consommaient surtout les tissus et les cerveaux de leurs morts, lors d’un cérémonial traditionnel, en signe de respect. Cette pratique eut des conséquences dévastatrices : des chercheurs découvrirent que des membres des différentes tribus souffraient d’une maladie mortelle, que les femmes transmettaient à leurs enfants et qui se révéla être la maladie de Kreutzfel Jacob (variant humain de la "maladie de la vache folle").
Cette maladie a causé la disparition de bien des formes de cannibalismes rituels. Mais la propagation du Christianisme par les missionnaires a aussi permis une diminution significative de cette pratique.

La seule forme tolérée de cannibalisme est celle qui permet la survie dans une situation désespérée. Le cannibalisme "de survie" est rare et peut s’expliquer par des conditions très particulières, mais reste malgré tout un acte punissable par la loi. Plusieurs cas de cannibalisme de survie célèbres ont eu lieu durant les deux derniers siècles, notamment l’expédition Donner de 1846 (la "Donner Party", des immigrants américains perdus dans les montagnes de la Sierra Nevada) et l’équipe de rugbymen uruguayens dont l’avion s’était écrasé dans la cordillère des Andes en 1972.

A notre époque, le meurtre d’une personne et la consommation de son corps par un autre être humain, en dehors des famines, sont considérés comme du cannibalisme criminel ou de l’anthropophagie. Toutefois, les définitions et les lois concernant ce genre de crime varient considérablement d’une culture à une autre.
Dans de nombreux endroits du monde, le cannibalisme n’est pas considéré comme un crime en lui-même et n’est reconnu comme tel qu’en liaison avec un autre crime. Ainsi, en Allemagne, en Grande-Bretagne et aux États-Unis, le cannibalisme n’est pas considéré comme un crime, bien qu’il soit socialement inacceptable. Les personnes qui commettent cet acte sont généralement inculpées d’un autre crime directement relié au cannibalisme, tel que le meurtre ou la nécrophilie.
En France, le terme de cannibalisme n’apparaît pas en tant que tel dans les textes de loi, mais une personne ayant tué et dévoré un autre être humain peut, en plus de meurtre, être accusé "d’actes de barbarie".
Dans d’autres cultures, ce que l’on estimerait être du cannibalisme criminel peut-être acceptable, selon les circonstances. Des soldats japonais prisonniers furent dévorés par la tribu Takou Kan de Formose en 1907, ce qui était normal pour les Takou, mais choqua les Occidentaux et les Japonais. Toutefois, en 1944, les Américains débarquèrent sur l’île de Leyte, au Philippines, et prirent par surprise des milliers de soldats japonais. Ces derniers, isolés dans la jungle, incapables de se replier, pris en tenaille entre la guérilla philippine et les troupes américaines, moururent en grand nombre. Certains survécurent pourtant... grâce au cannibalisme.

Jusqu’à la fin du 18ème siècle, on imputait encore à des "loups-garous" les viols et les meurtres commis par des tueurs en série qui étaient aussi parfois cannibales.
En 1573, alors que les sorcières et les loups-garous provoquaient des hystéries collectives, le Français Gilles Garnier admit avoir assassiné plusieurs enfants, dont les corps avaient été découverts mutilés et à moitié dévorés. On lui demanda pourquoi il avait agi ainsi (en fait, il fut longuement torturé...) et Garnier affirma être un loup-garou, une condition qu’il avait acquise grâce à la sorcellerie. Un démon lui avait appris à se changer en loup en se frottant le corps d’un onguent (une méthode classique selon les légendes de l’époque). Il avait déchiqueté des enfants avec ses griffes et les avait dévorés. Il admit qu’il aimait manger de la chair humaine... et qu’il avait « les mêmes inclinaisons anormales même lorsqu’il était dans son état d’être humain normal plutôt que dans son état de loup » !
Quinze ans plus tard, l’Allemand Peter Stubbe fut torturé avant - et exécuté après - avoir avoué 25 années de meurtres et de cannibalisme. Il expliqua lui aussi que le Diable lui avait enseigné l’art de la métamorphose et lui avait offert une peau de loup, qu’il portait lorsqu’il pourchassait des jeunes femmes et des enfants. Mais, selon lui, quand il attrapait sa victime, il retournait à sa forme humaine pour la violer et la mutiler. Il admit avoir tué et mangé son propre fils, dont la mère était également sa fille, avec laquelle il avait une relation incestueuse.
De nos jours, la lycanthropie est reconnue comme un désordre mental. Ceux qui en souffrent sont persuadés de se transformer en loup et agissent comme, selon eux, cet animal sauvage devrait se conduire : ils hurlent, violent brutalement des victimes sans défense et ne mangent que de la viande crue et sanguinolente.

Beaucoup refusent de croire que le cannibalisme est toujours pratiqué à notre époque "civilisée". Pourtant, il existe des cas documentés depuis au moins le siècle dernier.
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyJeu 11 Aoû - 7:09

Scatophilie
Un article de Wikipedia, l'encyclopédie libre.
La scatophilie est une maladie mentale[réf. souhaitée] qui consiste à se vautrer dans ses propres excréments, à les admirer, les conserver.

Cette maladie est le fait de déments, mais se retrouve aussi dans certaines névroses d’abandon ou de graves traumatismes affectifs. Elle s’observe également chez certains enfants, dans des états de retard mental ou de détérioration démentielle[réf. souhaitée].

Un désordre similaire est la coprophagie qui consiste à manger ses propres excréments.

Sexologie
La scatophilie est l'attirance pour les excréments, et désigne parfois par extension la scatologie, pratique sexuelle consistant à avoir une forte excitation érotique en mangeant (ou faisant manger), ou en se recouvrant le corps des excréments de son (ou de sa) partenaire.

On a également qualifié la Klysmaphilie, c'est-à-dire l'administration érotique de lavements (l'origine étymologique est identique à celle de clystère), de pratique scatophile. Il existe une autre variante qui consiste à déféquer dans ses sous-vêtements, parfois en public, et ressentir du plaisir en demeurant ainsi souillé(e).

La scatophagie, en tant que partie de l'acte scatophile, consiste à manger les excréments du partenaire sexuel.

Un cas un peu à part de scatophilie est le phénomène des "soupeurs" : il s'agit d'une pratique sexuelle déviante (paraphilie) consistant à manger des morceaux de pain sec auparavant abandonnés dans des urinoirs publics, pratique qui fut relativement répandue durant certaines époques notamment à Paris.

Se dit aussi de certains insectes qui trouvent leur nourriture dans les excréments, on parle aussi de coprophagie. Les plus connus sont les bousiers, les mouches et les blattes.
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyJeu 11 Aoû - 13:17

MDR Narlock !...
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Le terme geek (/gik/) (parfois francisé en guik) est un anglicisme désignant un « crack », une personne passionnée par un domaine précis. Il s’emploie entre autres dans le domaine de l’informatique ainsi que dans celui de la science-fiction.

L’archétype le plus célèbre du geek est celui du jeune (ou de l’adolescent) féru de sciences/maths/logique, qui s’intéresse également aux nouvelles technologies et aux univers fantastiques (comics, science-fiction, heroic fantasy, etc.). Cette passion s’applique concrètement par de nombreuses activités, telles que le jeu de rôle, le cinéma, les séries télévisées, les jeux vidéo ou encore la programmation informatique.

Il y a souvent confusion entre les geeks, les nolifes, et les nerds, bien que cette confusion soit généralement mal perçue par les geeks eux-mêmes. De même, un amalgame est souvent fait entre les personnes passionnées de hautes technologies (les technophiles) et les geeks en général.

Selon l’Oxford American Dictionary (en), l’origine du mot se trouve dans le moyen haut-allemand Geck, qui désigne un fou, un espiègle et du néerlandais Gek qui désigne quelque chose de fou.

Dans le Nord et l’Est de la France, on trouve le mot patois Gicque qui désigne un fou de carnaval. En Alsace, lors des défilés de carnaval, on porte des Shellekapp, Gickeleshut ou bien des Bonnets de Gicque, avec des pointes et des clochettes. Lors des bals du Carnaval de Dunkerque, on danse des Rondes de Gicques.

Au XVIIIe siècle, dans l’Empire austro-hongrois, les cirques ambulants présentaient déjà des Gecken, des monstres de foire, personnes avec des déformations, femmes à barbe, etc. De nombreux arrêtés municipaux interdisaient à ces bateleurs de pénétrer dans les villes avec leurs monstres ou les obligeaient à les faire coucher avec les bêtes dans les granges.

Vers la fin du XIXe siècle, en Amérique du Nord, dans les foires, on a commencé à présenter des Geeks dans les side-shows, ces expositions annexes aux spectacles de cirque. On y présentait souvent des freaks c’est-à-dire des monstres de foire, des personnes ayant un handicap étrange ou une déformation physique vraie ou fausse.

Dans ce « bestiaire », le geek était souvent une personne handicapée mentale (Syndrome de Down) ou bien un artiste de cirque ne pouvant plus participer aux numéros habituels. Il se tenait généralement nu ou vêtu de peaux de bêtes dans une cage, couvert de boue, et rugissait et secouait les barreaux de la cage pour effrayer les visiteurs ayant payé pour le voir. On le présentait comme le « chaînon manquant », comme l’« homme sauvage » capturé en forêt. Parfois on lui faisait égorger ou décapiter des poulets avec ses dents et le geek devait faire semblant de boire leur sang.

Dans sa trilogie romanesque The Deptford Trilogy, l’auteur Robertson Davies décrit sa rencontre avec un artiste de cirque alcoolique que l’on force à faire le geek dans une cage. Aux États-Unis, le terme va ensuite être appliqué aux gens décalés et bizarres, qui ne s’intègrent pas dans la société. Dans les années 1920, des auteurs comme Meyer Levin, Upton Sinclair ou Truman Capote utilisent le terme pour désigner des hommes solitaires et un peu fous que l’on peut voir rentrer chez eux, les vêtements négligés, les cheveux en désordre et absorbés dans leurs pensées.

Ce n’est que vers les années 1960, avec le développement des calculatrices puis des ordinateurs, que le terme a commencé à s’utiliser pour parler des « forts en maths » et autres « intellos » en sciences et technologies qui - dans les lycées et les universités - ne s’intéressaient pas à la plupart des activités de leurs camarades.

« Au départ, le terme vient de l’américain freak, monstre de foire », explique David Peyron, réalisant une thèse en sociologie sur la culture geek. « Dans les lycées, c’étaient les intellectuels mis de côté. Des intellos en sciences et nouvelles technologies. Comme ils étaient isolés, ils se sont réfugiés dans des mondes imaginaires ».

Plus récemment, le terme « geek » a commencé à désigner des individus qui investissent beaucoup de temps dans une passion dévorante pour le domaine de l’informatique, aux dépens de leur vie sociale.

Le terme geek aujourd'huiToutefois, le terme s’est rapidement développé, ne désignant plus quelqu’un possédant une simple passion pour l’informatique, mais une passion pour plusieurs domaines différents parmi lesquels la science-fiction, l’informatique, ou le fantastique.

Depuis le début du XXIe siècle, les multiples définitions qui furent attribuées au terme geek peuvent se résumer par leur point commun : le geek est celui qui s’évade grâce à son imaginaire, c’est-à-dire qui se divertit grâce à celui-ci, en se passionnant pour des domaines précis (science-fiction, fantastique, informatique…) dans lesquels il aura une connaissance très précise, et en s’insérant au sein de communautés actives de passionnés.

Confusions au sujet des geeksIl faut différencier le geek du nolife, du nerd et du technophile :

Si nolife et geek sont parfois compatibles, ils ne sont pas pour autant synonymes. Le nolife est celui dont la passion (généralement le jeu vidéo, en particulier le MMORPG) devient une addiction, puisqu’elle occupe une part démesurée dans sa vie, et va jusqu’à être un frein pour son emploi ou ses études. Ce n’est pas forcément le cas du geek, puisque le plus souvent les geeks offrent une part raisonnable de leur temps à leur passion.

Une autre différence majeure entre les geeks et les nolifes consiste dans le fait que les geeks forment une communauté, qui se retrouve sur Internet mais aussi dans le monde réel, et possèdent ainsi une vie sociale. Le nolife, lui, n’entretient pratiquement pas ou plus de relations avec le monde extérieur, et il empiètera sur ses relations sociales pour se livrer à son activité.

On peut enfin noter que le geek aura le plus souvent des connaissances plus pointues que le nolife sur sa passion. Dans le domaine de l’informatique par exemple, quand le geek aura une connaissance précise du fonctionnement d’un ordinateur et des programmes qu’il utilise, le nolife n’aura que des connaissances élémentaires, qui lui permettront simplement d’utiliser des jeux vidéo et des fonctions peu poussées.

En outre, il est important de différencier précisément les termes nerd et geek. Ces deux termes peuvent parfois se recouper mais ne sont pas pour autant synonymes. En effet, le terme nerd fait davantage référence aux passionnés d’informatique ou de sciences que le terme geek, qui englobe d’autres passions de l’ordre du fantastique ou de la science-fiction. Le nerd est donc une catégorie de geek. Le terme nerd est, aujourd'hui, plus négatif et renvoie souvent à un physique disgracieux. Le nerd typique fait partie des clichés du micro-cosme étudiant américain, au même titre que le joueur de football américain ou la pom pom girl, clichés entretenus par la fiction et, parfois, les médias.

Enfin, la différence entre geek et technophile est simple, puisque radicale : le technophile est celui qui apprécie l’usage d’un téléphone portable, d’un ordinateur, d’Internet, en bref, des nouvelles technologies. Or, si tous les geeks ou presque sont technophiles, un utilisateur de téléphone portable n’est bien sûr pas nécessairement un geek. De nombreux geek aiment à approfondir leurs connaissances en se tournant, au contraire, vers du matériel considéré comme obsolète, notamment les ordinosaures. Un geek n'est ni un nolife, ni un nerd, ni un technophile.

Exemples d'activités geeksUn geek est souvent adepte d’un univers ou d’une activité particulière. En général, une activité peut être considérée comme geek si elle entretient un rapport très étroit avec les nouvelles technologies et/ou avec des univers fantastiques. Voici une liste non exhaustive des activités les plus courantes :

Informatique et sciences
Univers littéraires, comme par exemple ceux de H. P. Lovecraft, J. R. R. Tolkien, Terry Pratchett... ainsi que les livres basés sur les univers de Star Wars ou de Star Trek
Cinéphilie orientée vers les films de genre (science-fiction, horreur, heroic fantasy) : Le Seigneur des anneaux, Conan le Barbare, Star Wars, Matrix, Tron, ainsi que vers les nanars et les séries télévisées traitant des sujets ci-dessus
Comics et bande dessinée
Jeux de rôle (le plus souvent issus des univers précités, ou d’univers spécifiques, comme pour Donjons et Dragons) et jeux de société (y compris les jeux originaux tels que les jeux de Steve Jackson)
Jeu de rôle grandeur nature et cosplay
Wargames (jeux de stratégie avec figurines) dont sont issus par exemple les univers de Warhammer ou Warhammer 40000
Jeux vidéo (notamment de stratégie et d'arcade), jeux en ligne (MMORPG, notamment l’exemple typique de World of Warcraft), et retrogaming
Mangas, cependant, ce domaine est particulièrement réservé aux otakus
Musique : bandes originales des films précités, OST de jeux vidéo, musique d'influence japonaise (J-Music) et dans certain cas de la musique électronique ou classique.
« Rencontres geeks »Il est difficile de fixer la limite entre une rencontre que l’on peut qualifier de geek ou une simple rencontre d’amateurs. Généralement, seuls l’état d’esprit et l’idée qu’en retiennent les participants peuvent faire la différence. Quoi qu’il arrive, les manifestations qualifiées de rencontres geeks traitent des thèmes des technologies, de la SF ou associés. Il s’agira d’un regroupement de passionnés, profitant de la manifestation pour se retrouver et pratiquer ensemble leur activité favorite.

Les rencontres du logiciel libre, qu’elles soient locales ou mondiales.
Les rencontres de jeux multi-joueurs de toutes sortes, les lan-parties, les présentations ou les ventes de nouveaux jeux informatiques ne sont pas en elles-mêmes des rencontres geeks, mais des rencontres de passionnés de jeux vidéo. Cependant, il arrive souvent que ces manifestations soient un lieu de rencontre pour les geeks adeptes d’un même univers.
Les conventions de jeu de rôle grandeur nature, voire de reconstitution historique.
Les conventions et tournois de jeux de rôle ou de wargames
Les grands rassemblements de passionnés, qui représentent un évènement majeur où se retrouvent, souvent chaque année, un grand nombre de geeks adeptes d’un même univers. La Japan Expo en est un exemple.
L'informatique et les geeks : le sujet de prédilectionS’il existait un sujet qui puisse rassembler tous les geeks, ce serait l’informatique. En effet, la plupart des geeks, qu’ils soient particulièrement adeptes de programmation ou non, entretiennent un rapport étroit avec l’informatique et les nouvelles technologies, et sauront se servir d’un ordinateur à un niveau plus élevé qu’un individu moyen. Cela entraîne parfois entre les geeks une certaine appropriation de l’informatique, chaque geek se reconnaissant une compétence dans le domaine, ce qui peut donner lieu à de longs débats sur le sujet.

La fonction principale de l’informatique chez les geeks est en réalité de souder la communauté des passionnés, par le biais par exemple de forums de discussion ou d’équipes de joueurs (dans le cas des jeux vidéo). Cette pratique sociale informatisée se combine par ailleurs avec des rencontres bien réelles entre geeks, comme précisé plus haut.

Cette importance de l’informatique chez les geeks a donné lieu à une conception erronée du geek, qui serait alors un simple adepte d’informatique ou d’outils technologiques modernes. Cette conception est tout à fait partielle puisque le geek ne se limite pas à une simple utilisation d’outils technologiques
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyDim 18 Sep - 2:00

Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-BocsaN 1, dit Nicolas Sarkozy [nikɔla saʁkɔzi] ()N 2, est un homme d'État français, né le 28 janvier 1955 à Paris.

Avocat d'affaires de profession, il a occupé les fonctions de maire de Neuilly-sur-Seine, de député, de porte-parole du gouvernement, de ministre du Budget, de ministre de la Communication, de ministre de l'Intérieur, de ministre de l'Économie et des Finances et de président du conseil général des Hauts-de-Seine.

Alors qu'il est président de l'UMP, Nicolas Sarkozy remporte l'élection présidentielle de 2007 avec 53,06 % des voix au second tour, face à Ségolène Royal. Il prend ses fonctions de vingt-troisième président de la République française le 16 mai 2007. À ce titre, il préside notamment le Conseil européen en 2008, l'Union pour la Méditerranée et le G20 pour l'année 2011. Son mandat est marqué par des crises internationales (enchaînement d'une crise financière mondiale, d'une crise économique mondiale et de la crise de la dette dans la zone euro, printemps arabe).
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MessageSujet: Re: FLOOD !   FLOOD ! EmptyDim 18 Sep - 14:49

Norouz ( en kurde : Newroz ; en persan : نوروز ;en turc : Nevruz) est la fête traditionnelle iranienne célébrant le nouvel an du calendrier iranien (premier jour du printemps). La fête est célébrée par certaines communautés le 21 mars et par d'autres le jour de l'équinoxe vernal, dont la date varie entre le 20 et le 22 mars. Elle est d'ailleurs aussi considérée par certaines communautés comme une fête du printemps.
Le mot vient de l'avestique nava, « nouveau » + rəzaŋh, « jour »/« lumière du jour » (« nouveau jour »/« nouvelle lumière »), et qui a toujours le même sens en persan (no, « nouveau » + rouz, « jour », signifiant « nouveau jour »)

En kurde, le nom est décliné selon les dialectes ou les translittérations sous diverses formes dont : Newroz, Nûroj ou Neweroc.

Norouz est célébré depuis au moins 3 000 ans et est profondément enraciné parmi les rituels et les traditions du zoroastrisme. Aujourd'hui, la fête de Norouz est célébrée dans de nombreux pays qui ont été des territoires ou qui ont été influencés par l'Empire perse : en dehors de l'Iran, on peut citer le Kurdistan, l'Afghanistan, des parties du Moyen-Orient aussi bien que dans les ex-républiques soviétiques du Tadjikistan, de l'Ouzbékistan, de l'Azerbaïdjan, du Kazakhstan et du Kirghizistan, pays dans lesquels la fête est appelée Navrouz. La fête est aussi célébrée par les Parsis zoroastriens en Inde.

Dans la plupart des pays, on accompagne la fête par un Norouz Mubarak (mubarak : félicitations). Au Kurdistan, on dit Cejna we pîroz be et en Turquie, on dit Nevruz bayramıniz kutlu olsun.

Les suivants de la variante Fasli du calendrier zoroastrien célèbrent aussi Norouz comme le premier jour de l'année nouvelle. D'autres variantes du calendrier zoroastrien célèbrent deux fois Norouz, une fois en tant que Jamshedi Navroz, le 21 mars en tant que début du printemps, et un second Norouz a lieu, en juillet/aout (voir Calendrier zoroastrien), en tant que veille de l'année nouvelle ou jour de l'an. Que ce second Norouz soit célébré en tant que dernier jour de l'année (contrairement à ce qu'on pourrait penser d'un terme qui signifie "nouveau jour") pourrait être dû au fait que dans la Perse antique le jour commençait au coucher du soleil, alors qu'ultérieurement, les Perses pensaient que le jour commençait au lever du soleil.

Le bahaïsme, une religion qui trouve ses origines en Iran, célèbre aussi ce jour (son nom est alors "Naw Rúz") en tant que fête religieuse marquant non seulement la nouvelle année selon le calendrier Bahá'í, mais aussi la fin de leur jeûne de 19 jours. Les Bahá'ís persans suivent toujours les coutumes iraniennes associées avec le Norouz, mais les Bahá'ís du monde entier fêtent ce jour, en suivant plus ou moins leurs coutumes locales. Alors que Naw Rúz, d'après leurs écritures, tombe le jour de l'équinoxe vernal, les Bahá'ís le célèbrent le 21 mars, sans se soucier du jour précis où tombe l'équinoxe vernal. Les Bahá'ís doivent ce jour là suspendre leur travail ainsi que tout travail scolaire.

Dans les républiques ex-soviétiques d'Asie centrale, Norouz, le 21 ou 22 mars, est communément considéré comme le "nouvel an des musulmans" (entendre des ethnies de religion musulmane) et donne lieu à des festivités tant religieuses que profanes. Alors que le calendrier persan est très précis concernant le moment astronomique auquel la nouvelle année commence, la période de 24 heures pendant laquelle l'année astronomique commence est considérée comme Norouz.

Le terme Norouz est apparu pour la première fois dans les documents de l'Empire perse au second siècle avant notre ère, mais il y a des raisons de croire que la célébration est beaucoup plus vieille et qu'elle était déjà probablement un jour important pendant la dynastie Achéménide (vers 648 av. J.-C. - 330 av. J.-C.). Il a été suggéré que dans le célèbre complexe palatial de Persépolis, ou qu'au moins le palais de l'Apadana et "Palais aux cent colonnes" avaient été construits afin d'être utilisés spécialement pendant les célébrations de Norouz. Cependant, aucune mention du terme Norouz n'existe dans les inscriptions achéménides.

Les plus anciennes mentions de Norouz remontent à l'époque parthe/arsacide (247 av. J.-C. - 224 ap. J.-C.). Il y a des références spécifiques à la célébration de Norouz pendant le règne de Vologèse Ier (51 - 78 av. J.-C.), mais les détails ne sont pas cités.

Des détails substantiels sur la célébration de Norouz apparaissent après l'accession au trône d'Ardachîr Ier, fondateur de la dynastie Sassanide (224 - 650 de notre ère). Sous les rois sassanides, Norouz était célébré comme le jour le plus important de l'année. La plupart des traditions royales de Norouz comme les audiences royales en public, les cadeaux et le pardon des prisonniers ont été établies pendant l'époque Sassanide et sont restées telles quelles jusqu'à l'époque moderne.

Norouz, de même que Sadeh (qui est célébré au milieu de l'hiver), a survécu dans la société après l'introduction de l'islam en 650 apr. J-C. D'autres célébrations comme Gahanbar et Mehragan ont été mises de côté ou ont seulement continué à être suivies par les zoroastriens, qui les ont emmenées jusqu'en Inde. Norouz, cependant, était une fête très célébrée, même par ceux qui ont adopté l'islam très tôt. Il reste des indications que les quatre grands califes ont présidé aux célébrations de Norouz, et que le jour était férié pendant la période abbasside.

Après la chute du califat et la réémergence de dynasties perses comme les Samanides et les Bouyides, Norouz a été élevé à un niveau encore plus important. Les Bouyides ont fait revivre les anciennes traditions de l'époque Sassanide et ont restauré d'autres célébrations de moindre importance qui avaient été éliminées par le califat. Même les envahisseurs ottomans et mongols n'ont pas tenté d'abolir Norouz au profit d'une autre célébration. Norouz est donc resté la principale fête des Iraniens à la fois au niveau officiel et populaire. La dernière illustration remarquable de la stabilité de cette fête est à la suite de l'avènement de la République islamique. Le nouveau régime d'obédience religieuse voyait d'un mauvais œil une célébration si grandiose et si populaire pour une fête dont l'origine n'était pas musulmane. Aucun effort n'est fait pour célébrer officiellement ce jour et un parallèle systématique est fait avec les martyrs de la révolution et de la guerre. Après deux décennies, la volonté populaire a donné raison à l'Histoire. Norouz est de nouveau célébré en Iran encore plus fastueusement que par le passé et de grands Haftsin ont fait leur apparition ces dernières années à l'initiative de la mairie de Téhéran dans les grandes places de la ville.

En Iran, les préparations de Norouz commencent pendant Esfand, le dernier mois d'hiver dans le calendrier persan. Les Iraniens, les Afghans et d'autres groupes commencent à se préparer en faisant un grand "nettoyage de printemps" dans leurs maisons, s'achètent de nouveaux vêtements pour la nouvelle année et achètent des fleurs (la jacinthe véritable et la tulipe sont particulièrement populaires).

En association avec la renaissance de la nature, le nettoyage de printemps est la tradition nationale suivie par la plupart des ménages en Iran. Cela est aussi étendu aux effets personnels, et traditionnellement, tout le monde s'achète au moins une garde robe neuve. Le jour du nouvel an, les familles s'habillent avec leurs vêtements neufs et commencent alors les réjouissances de cette période, en allant rendre visite aux anciens, puis au reste de la famille et enfin aux amis. Le 13e jour, les familles quittent leur maison et vont pique-niquer à l'extérieur.

Pendant les vacances de Norouz, on attend de tous qu'ils se rendent visite (principalement limitées à la famille, aux amis et aux voisins) sous forme de courtes visites à la maison, qui sont généralement suivies de réciprocité. Typiquement, le premier jour de l'année, les membres de la famille se retrouvent à table, sur laquelle sont posés les Haft Sîn (ou disposés à proximité) et attendent le moment exact de la nouvelle année. À ce moment-là, des cadeaux sont échangés. Plus tard dans la journée, les jeunes rendent visite aux plus âgés. Les visites doivent être assez courtes pour permettre de voir tous les gens à qui l'on a prévu de rendre visite. Ces visites durent généralement une demi-heure, pendant laquelle on rencontre généralement de la famille et des amis qui sont eux aussi en train de faire la tournée de la famille. À cause de ces visites, il faut s'assurer d'avoir assez de pâtisseries, gâteaux, fruits frais et secs sous la main, puisque ces derniers sont généralement distribués aux visiteurs en même temps qu'un thé ou un sirop. Beaucoup d'Iraniens organisent ce jour de grandes fêtes rassemblant tout le monde pour pouvoir réunir les convives qui viennent de loin.

Le dernier mercredi de l'année est célébré par les Iraniens sous le nom de Chāhār Shanbe Sûri, moment où tout le monde sort dans la rue, fait des feux et saute par dessus en criant Zardie man az tou Sorkhie tou az man (littéralement: Je te donne ma couleur jaune, tu me donnes ta couleur rouge - celle du feu-, mais figurativement : je te donne ma pâleur - ou ma maladie-, je prends ta force - ta santé-.

Offrir des pâtisseries connues sous le nom de Ajile Moshkel Gosha est la façon de remercier pour la santé et le bonheur de l'année passée, tout en échangeant toute pâleur et tout mal restant pour la chaleur et les vibrations du feu.

D'après la tradition, les esprits des ancêtres rendent visite aux vivants les derniers jours de l'année, et beaucoup d'enfants s'entourent de draps, rejouant ainsi symboliquement les visites des morts. Ils courent aussi dans les rues en tapant sur des boîtes et des casseroles et frappent aux portes pour jouer des tours au gens. Ce rituel est appelé qashogh-zany (battage de cuillers) et symbolise le fait de chasser le dernier mardi de malchance de l'année.

La tradition veut également que l'on saute dans l'eau le mercredi matin aux premiers rayons de soleil.

Il y a plusieurs autres traditions cette nuit là, dont les rituels de Kûzeh Shekastan, pendant lequel on casse des jarres en terre qui contiennent symboliquement la mauvaise fortune de quelqu'un, Fal-Gûsh ou l'art de la divination en écoutant les conversations des passants et le rituel de Gereh-gosha-î, faire un nœud dans un mouchoir ou un tissu et demander au premier passant de le défaire afin d'éloigner la malchance de quelqu'un.

La tradition principale de Norouz est la mise en place des Haft Sîn (هفت سین) -les sept 'S', sept objets dont le nom commence par la lettre S ou "sîn" (س) de l'alphabet Persan, qui sont sept objets spécifiques disposés sur une table correspondant aux sept créations et aux sept immortels les protégeant. Aujourd'hui, ils ont été un peu modifiés mais le symbolisme demeure. Chaque famille essaie de garder leur table des Haft Sîn la plus jolie possible, puisque le sens spirituel est aussi important que la façon dont ils sont disposés puisque les visiteurs voient cette disposition comme une réflexion de leur goûts.

La liste suivante est un exemple des objets servant à faire les Haft Sîn, bien qu'il n'y ait pas de consensus permettant de dire lesquels sont les sept concernés:

sabzeh - germes de blé, orge ou lentille poussant dans un plat (symbolisant la renaissance)
samanu - une pâte très sucrée fait de germe de blé (symbolisant l'abondance)
senjed - le fruit séché du jujubier (symbolisant l'amour)
sîr - ail (médecine)
sîb - pommes (beauté et bonne santé)
somaq - baies de sumac (la couleur du lever du soleil et santé)
serkeh - vinaigre (l'âge et la patience)
sonbol - l'odorante fleur de jacinthe (l'arrivée du printemps)
sekkeh - pièces (prospérité et santé)
Les autres objets sur la table peuvent inclure les suivants:

pâtisseries
bougies allumées (bonheur)
un miroir
des œufs peints, peut-être un pour chaque membre de la famille (fertilité)
un bol avec deux (ou plus) poissons rouges (vie)
un bol d'eau contenant une orange amère (la terre flottant dans l'espace)
eau de rose pour ses pouvoir magiques nettoyants
les couleurs nationales, pour la touche de patriotisme
un livre sacré (par exemple l'Avesta) ou encore un livre de poésie (presque toujours le Shâh Nâmâ ou le divan d'Hafez ou Gathas )

Le traditionnel porteur des couleurs de Norouz est un personnage appelé Haji Pirûz, ou Hadji Firuz. Il symbolise la renaissance du dieu du sacrifice sumérien, Domuzi (Dumuzi, qui a donné son nom au mois hébreu de Tammuz), qui était tué à la fin de chaque année et renaissait pour le début de l'année nouvelle. Portant du maquillage noir et un costume rouge, Haji Firûz chante et danse dans les rues avec tambourin et trompettes en distribuant ses bons vœux pour l'arrivée de la nouvelle année.

Sabzi Polo Mahi : Le repas traditionnel de la nouvelle année est appelé Sabzi Polo Mahi, qui est du riz cuit avec des fines herbes et servi avec du poisson. Les fines herbes traditionnelles sont le persil, la coriandre, de l'aneth, de la ciboulette et du fenugrec.
Reshteh Polo : Du riz cuit avec des sortes de nouilles dont on dit qu'il aide symboliquement à réussir dans la vie.

Le treizième jour des fêtes du nouvel An est Sizdah Bedar (signifiant littéralement "treizième dehors"), qui est un jour festif célébré à l'air libre, souvent accompagné de musique et de danse. Cette journée est passée à pique-niquer en famille.

Les célébrations du treizième jour, Sîzdah Bedar, viennent de la croyance des anciens Perses que les 12 constellations du Zodiaque contrôlaient les mois de l'année, et que chacun régnait sur la terre pour un millier d'années. À la fin de ce cycle, le ciel et la terre sombraient dans le chaos. En conséquence, Norouz, dure 12 jours et le treizième représente le chaos, moment pendant lequel les familles mettent l'ordre de côté et évitent la malchance associée au nombre treize en allant dehors et en profitant d'un pique-nique et d'une fête.

À la fin des célébrations de cette journée, les sabzeh cultivées pour le Haft Sîn (qui a symboliquement recueilli toute la maladie et la malchance) sont jetées dans de l'eau courante pour exorciser les démons (divs) de la maisonnée. Il est aussi de coutume pour les jeunes femmes célibataires d'attacher les tiges des sabzeh avant de les jeter, exprimant ainsi le souhait d'être mariées avant le Sîzdah Bedar de l'année suivante.

Les Kurdes utilisent le terme "Newroz". En kurde moderne, nouveau se dit 'new' et jour se dit 'ro'. Les Kurdes célèbrent le Norouz entre les 18 et 21 mars et le considèrent comme la fête la plus importante de l'année.

Le Norouz est également accompagné chez les Kurdes de la légende de Kawa le forgeron. « Affligé aux épaules de deux serpents, le roi Zohak faisait sacrifier tous les matins deux jeunes gens pour nourrir ses monstres de cervelle humaine. La légende raconte que trois chevaliers, déguisés en médecins, épargnèrent une victime sur deux en substituant sa cervelle à celle d'un mouton. Le survivant s'enfuyait dans les montagnes, et de ces milliers de fugitifs naquit le peuple kurde. À la fin du règne de Zohak, un forgeron nommé Kawa, dont seize fils avaient été sacrifiés, se révolta quand son dernier enfant fut capturé »1. Selon la légende, Kawa se révolta le jour du Newroz. Ayant réussi à s'infiltrer dans le château de Zohak, Kawa le tua et libéra ainsi son peuple du joug de la tyrannie. Partout on alluma des feux et on dansa autour pour fêter la mort du tyran et célébrer l'exploit de Kawa. Depuis, chaque année, le jour du Norouz, les Kurdes allument des feux et dansent autour pour fêter la victoire de la liberté sur la tyrannie. Ils se rassemblent à l'extérieur des villes pour célébrer la venue du printemps ; les femmes et les hommes portent des vêtements verts, jaunes et rouges qu'ils considèrent comme les couleurs du peuple kurde.

Il existe plusieurs versions de la légende de Kawa selon les régions du Kurdistan, mais toutes font du Norouz le jour de la victoire de Kawa sur Zohak.

Avec cette forte connotation identitaire, les festivités du Norouz ont longtemps été interdites en Turquie. Ainsi, en mars 1992, d'après deux députés Kurdes, 93 personnes sont tuées par l'armée de l'air turque lors des célébrations du Norouz2. La Turquie a changé sa stratégie en tentant de récupérer le Norouz : rebaptisé "Nevruz" et présenté comme une fête turque, il a été légalisé à la fin des années 19903. Une nouvelle mythologie a même été inventée autour du "Nevruz"4. Mais cette récupération n'a pas eu les effets escomptés : les Turcs ont ignoré le "Nevruz" organisé sans conviction par les autorités turques tandis que la répression s'est poursuivie contre les célébrations kurdes5.

Quant aux Kurdes, en dépit de la récupération de leur fête par l’État, ils continuent chaque année de célébrer ce grand événement populaire, devenu au fil du temps un symbole de résistance.

En Turquie, c'est une tradition et une fête officielle. Chez les Turcs, le Norouz signifie la première migration des nomades turcs de l'Ergenekon et le début du printemps. Les Turcs fêtent le Norouz tous les 21 mars

Le Norouz ou Nevruz en turc de Turquie, est une fête populaire de la Turquie jusqu'au Kazakhstan, en passant par l'Iran jusqu'à l'Ouzbékistan.

Au Kazakhstan, le nettoyage de printemps, les beaux vêtements et les échanges de nourriture avec les voisins sont de rigueur. Les Kazakhs sautent par dessus le feu afin de se libérer des maladies et des problèmes sociaux afin de commencer une nouvelle année sur de bonne base.

En Ouzbékistan, carrousels, marchands ambulants et musiciens remplissent les rues du pays pendant toute une semaine. Des activités sportives et culturelles sont organisées : combats de coqs, lutte, courses de chevaux et bien d'autres.

En Azerbaïdjan, le Norouz se déroule du 21 au 23 mars. Les Azerbaïdjanais se rendent dans un premier temps dans des cimetières afin de prier pour leur morts. Les plats traditionnels, cuisinés par les femmes sont offerts aux plus pauvres. Par ailleurs, la coutume du grand nettoyage se retrouve également. C’est aussi une fête pour les enfants, qui s’amusent à faire du porte-à-porte en chantant des chansons pour recevoir des œufs peints de toutes les couleurs.

En Turquie, la célébration du Norouz est plus complexe en raison du conflit avec les Kurdes. Selon le gouvernement turc, cette fête est originaire de la légende du loup gris, dont le peuple turc serait le descendant. Officiellement, le Norouz commémore le jour de délivrance où les Turcs quittèrent la plaine d’Ergenekon, dans laquelle ils avaient trouvé refuge lors d’invasions étrangères. Les 21 et 23 mars, les Turcs fêtent donc, à leur manière, le renouveau.

Pendant longtemps, cette fête était célébrée uniquement par la population kurde, très attachée à ses coutumes. Elle a été rebaptisée Nevruz par les Turcs, tandis que les Kurdes l’appellent Newroz.

Les autorités turques ont longtemps interdit, voire sévèrement réprimé, la célébration de Norouz. Cependant, les Kurdes ont toujours continué à affirmer leur identité à travers cette fête. Ce n’est que depuis 1990 et en certains endroits uniquement, que le gouvernement autorise des festivités kurdes, où toute revendication politique est interdite.

Pour les Turcs, les coutumes sont très proches de ce qui se fait dans les autres pays : grand ménage et préparation de plats qui seront partagés au cours des nombreuses visites entre proches. Le deuxième jour est consacré aux morts : les gens se rendent au cimetière afin de se recueillir sur les tombes. Chants et musique accompagnent ce rendez-vous. Le soir, de grandes fêtes sont organisées entre familles et voisins.

Il existe des variantes selon les endroits. Dans la région de Kars par exemple, un enfant doit aller chercher de l’eau sans jamais se retourner, ni parler. Une fois le seau rempli, chaque personne jette dans l’eau un fil de couleur et une aiguille le représentant. La croyance veut que les deux personnes dont les fils se mêlent se marieront dans l’année.

À Dêrsim Tunceli, les hommes se maquillent le front en noir et se rendent au bord de l’eau pour prier et faire des vœux.

Norouz a été reconnue le 23 février 2010, comme la « Journée internationale de Norouz pour la Culture de la Paix » par l'Assemblée générale de l'ONU 6 Le projet de résolution de la Journée internationale de Norouz7 a été adopté à l'unanimité, donnant une reconnaissance à cette fête d'origine Perse comme une journée internationale.

Dans le cadre d'une initiative commune, la République d'Azerbaïdjan, l'Afghanistan, le Tadjikistan, la Turquie, le Turkménistan, le Kazakhstan, le Kirghizistan et l'Iran, avaient rédigé conjointement cette résolution. Projet initial de la résolution a été signé, le 23 novembre 2009, au siège de l'ONU, à New York, par les ambassadeurs de ces pays.

Ce projet expliquait que Norouz symbolise l'unité culturelle et des traditions vieilles de plus de trois millénaires, célébrées par plus de 300 millions de personnes dans le monde, dans une vaste aire géographique allant du Moyen-Orient à l'Asie centrale, en passant par le Caucase, les pays riverains de la Mer Noire et les Balkans.

Norouz avait déjà été inscrit le 30 septembre 2009 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO 8.
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